Dans le chaos de l’aliénation parentale

  • Accueil
  • Dans le chaos de l’aliénation parentale

Série de trois articles écrits par la journaliste Émilie Dubreuil de Radio-Canada, dans la foulée de la campagne visant à faire bannir le terme d’aliénation parentale en février 2024.

Doit-on interdire l’utilisation d’un concept devant les tribunaux parce qu’il nuirait à certaines femmes victimes de violence? Des féministes pensent que oui et demandent qu’on interdise les accusations d’aliénation parentale. D’autres cependant s’en offusquent. Alors, noir ou blanc? La vérité ici est loin d’un pile ou face. Pour s’y retrouver, un peu de « slow journalism » s’impose.

Des femmes victimes d’ex-conjoints violents affirment avoir perdu la garde de leur enfant après avoir été accusées d’aliénation par des intervenantes de la DPJ. Les accusations sont graves, mais sont-elles fondées? La réponse n’est pas simple. Deuxième volet de notre exercice de slow journalisme sur l’aliénation parentale.

Aux prises avec une pénurie de personnel à la DPJ, un manque de juges en Cour supérieure et d’avocats à l’aide juridique, le système de justice, fatigué, ploie sous le poids de chicanes de couples de plus en plus épiques. Troisième volet de notre exercice de slow journalisme sur l’aliénation parentale.

Visionnez l’entrevue avec la journaliste Émilie Dubreuil, à Radio-Canada, en cliquant ici.

Scroll to Top